

Graphiquement, une empreinte, c’est aussi une trace partielle, incomplète, qui dévoile le blanc, l’absence, le manque………Chaque carré représente un instantané d’existence.


L’épuisement du phénomène jusqu’au rien. La preuve de vie devient aussi témoin de la disparition. Quelque chose de lisible qui devient invisible ; une forme qui disparaît. Il y a là pour moi une appréhension de cette dimension existentielle, qui me renvoie à ce propos : « Tout ce qui défait la vie, tout ce qui évoque ou annonce la mort, se caractérise généralement par une altération chromatique. La morbidité se manifeste souvent par la pâleur » Pascal Hintermeyer

